F.A.Q.

Je suis équipé d’un drone et je suis passionné par les images vues du ciel.

Cependant, les réglementations française et européenne (non encore harmonisées) sur l’utilisation de drones sont de plus en plus restrictives. En outre, la pratique professionnelle requiert un brevet de pilote que je n’ai pas.

En conséquence, je réalise des prises de vue aérienne uniquement en loisir.

Je pratique la photographie et la vidéographie depuis de nombreuses années dans le cadre de mes loisirs autour de la nature, de l’animalier et du tourisme.

En 2020, j’ai souhaité réunir mes passions et faire de cette activité ma profession. Ma volonté est de créer la plus forte émotion possible en capturant l’intensité des regards qu’ils soient humains ou autres, idéalement en décor naturel.

Afin de restituer la vie et la spontanéité, je commence par mettre les sujets (humains et/ou animaux) en confiance puis je tâche de me faire oublier, pour que le naturel prenne le pas.
Je suis attiré par les ambiances sauvages montagneuses, forestières ou maritimes. Toutefois, passionné d’histoire, j’adore utiliser le cadre de vestiges culturels.

Je me présente comme reporteur photographe vidéaste pour l’entreprise, le portrait, l’évènementiel, l’artisanat, le spectacle, le sport, la famille et l’animalier.

Par ailleurs, il n’est pas question pour moi de réaliser un projet allant à l’encontre de mes convictions, dont le cœur est le respect de la vie sous toutes ses formes.
Je tente, pas à pas, de réduire mon impact sur la biodiversité.

À la prise de vue, les images sont enregistrées en double, pour me prémunir d’une carte mémoire défectueuse.
Ensuite, pendant le développement ou le montage, les fichiers sont stockés sur un serveur NAS supportant la panne de disques.
Enfin, après la livraison, je conserve vos images sur mon serveur pendant 12 mois.
Au-delà, je ne suis plus en mesure de vous garantir la disponibilité de vos fichiers.
Je ne saurais trop vous recommander de procéder à des sauvegardes de votre côté.
Le sujet de la préservation du patrimoine numérique est malheureusement souvent mal traité.

• Boitiers : J’utilise 2 appareils hybrides plein format récents de niveau professionnel (dont un en secours). Avec ces appareils, les photos sont prises en RAW de façon à permettre le meilleur contrôle au développement. En vidéo, les séquences sont prises en LOG pour la même raison.
• Objectifs : je me suis équipé d’une large gamme d’objectifs pour couvrir tous les besoins (du 17mm au 600mm), en particulier en mode reportage sur le vif.
• Lumière : je suis doté également de flashs, d’éclairages continus, de boites à lumières (“softboxs”), de pieds et de fonds pour les séances studio nomades.
• Vidéo : un stabilisateur sur 3 axes (“gimbal”) me permet de réaliser des plans vidéo très fluides en mouvement.
• Son : des microphones externes canon ainsi qu’un micro-cravate lavalier et des enregistreurs spéciaux me permettent de capter les sons dans une excellente qualité.
• Action : j’utilise également des caméras d’action de type GoPro pour des situations sportives le nécessitant.
• Post-traitement : pour le développement photographique, j’utilise les logiciels Adobe Lightroom et DxO Photolab.
  Côté vidéo, j’utilise BlackMagic DaVinci Resolve Studio, solution réputée dans le monde du cinéma pour le traitement de la colorimétrie et le montage.
• Musique : un abonnement chez Artlist me permet de vous proposer des accompagnements musicaux sans aucune restriction de droits.

À l’exception de collaborations spécifiques décidées de part et d’autre pour alimenter mon portfolio, je refuse de réaliser des séances offertes contre publicité « de bouche à oreille ».
La communauté des photographes/vidéastes souffre de ce genre de propositions par des particuliers qui ne considèrent pas la valeur du travail d’un professionnel.
Certaines personnes pensent fautivement qu’un travail artistique se suffit à lui même et qu’il peut se passer de rétribution financière. Cela est méprisant et injuste.
Une séance requiert une étape de préparation, une postproduction chronophage, un équipement autrement plus coûteux qu’un simple smartphone et un savoir-faire.
D’autre part, si vous avez la certitude de pouvoir m’apporter une clientèle, alors discutons plutôt d’un intéressement sur de futures séances dont vous seriez à l’origine.

Pour toutes les prestations, le paiement s’effectue en 2 temps :

• 40% du montant du devis à la réservation (+ éventuels frais de déplacement);
• 60% le jour de la séance.

Vous disposez d’un délai de rétractation légal de 14 jours à compter de la date de réservation.
Passé ce délai, aucun acompte versé ne vous sera remboursé si vous annulez la réservation.

Intervenant seul, je ne suis pas en mesure de réaliser correctement en une séance un album photo ET un film.
Vous devez donc choisir entre les 2 modalités.
En revanche, il est tout à fait possible de fusionner sur une journée une séance photo et une séance vidéo, qui se dérouleront en parallèle pour bénéficier des mêmes conditions d’ambiance et de lumière.

J’interviens chez vous ou dans votre entreprise, en intérieur et en extérieur. Je privilégie les espaces extérieurs, qui correspondent à mes passions : espaces naturels, parcs, sites remarquables, votre jardin…

Installé près de Lyon, je rayonne surtout en région Rhône. Cependant, un projet peut être réalisé en France ou ailleurs, si le déplacement est possible.
Les seuls filtres que j’opère sont relatifs à ma sensibilité et mes compétences.
En cas de déplacement hors agglomération lyonnaise, les frais supplémentaires sont à votre charge.

Bien sûr, si la météo n’est pas favorable, je ferais tout pour replanifier la séance au plus tôt et le cas échéant trouver une solution de repli.

Yes, i am maybe not totally fluent, but i am sure we can discuss in English.

Pour un album photo d’une séance, le délai est compris entre 15 et 20 jours.

Pour un film vidéo, le montage requiert plus de temps et le délai est compris entre 15 et 35 jours.

En général, je me mets à la post-production sitôt après la séance.

Pour les particuliers : Conformément aux articles L. 111-1, L. 121-1, L. 121-2 et L. 123-1 du Code de la Propriété Intellectuelle, je reste le seul propriétaire des photos.
Cependant, je vous cède un droit d’exploitation et de diffusion des photos dans un cadre familial et privé.
Ainsi, vous pourrez partager librement les photos avec vos proches, réalisez vos propres tirages et livres photos sans aucune obligation de passer par mes services. Seule une utilisation commerciale de celles-ci est proscrite.

Pour les professionnels, nous définissons ensemble par contrat les modalités de cession de droit, selon différents critères de diffusion (support, quantité, durée).

Dans tous les cas, vous devez ne pas dénaturer, dévaloriser ou dénigrer les images ou leur auteur. Vous devez mentionner le nom de l’artiste à proximité (ou en surimpression) de telle sorte que n’importe quel observateur puisse savoir qui est l’auteur.

Je peux effectivement être intéressé par l’utilisation d’images issues de notre séance pour ma vitrine. En ce cas, nous négocions cet usage sous forme d’une remise ou d’un avoir.